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Présentation

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  • Père Francis Goossens sm

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Je suis religieux-prêtre  de la Société de Marie, Marianiste (Société de Marie, sm), j'accompagne des pèlerinages depuis de nombreuses années.

Ma mission est d'accompagner les personnes en difficulté et d'être un accompagnateur spirituel. 

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J'organise et accompagne des pèlerinages en Belgique et ailleurs  et j'anime des retraites spirituelles et de guérison.

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Depuis 1992, je suis responsable de la pastorale des pèlerinages et j'anime   des retraites et pèlerinages (Banneux, Beauraing, Lourdes, Terre Sainte, Rome, …).

Je suis Président de l’ARS depuis 2000 (Association des Recteurs des Sanctuaires francophones de Belgique) et depuis 2006, guide spirituel de pèlerinages en Terre Sainte pour l’Ordre du Saint Sépulcre de Jérusalem et pour le Vicariat du Brabant Wallon.  Je suis  Aumônier de la Clinique de la Forêt de Soignes depuis 2012 et je le resterai jusque juin 2024, date prévue du déménagement de la clinique de La Hulpe à Wavre.

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Je conçois le rôle d’accompagnateur, comme celui qui vient, par « la Parole du Seigneur », dynamiser et proposer une démarche intérieure, en essayant de rejoindre, de toucher, chaque pèlerin, là où il se trouve dans sa quête du Seigneur et sa vie spirituelle.

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Parfois la motivation de certains pèlerins tient plus compte d’une conception touristique (visite de l’un ou l’autre lieu) ou se résume au besoin de faire le point, ou même de renouer avec la nature. C’est là qu’intervient le rôle de l’accompagnateur, en proposant un cheminement intérieur, pour éveiller, réveiller, nourrir  et approfondir la foi des pèlerins, que ce soit par des célébrations eucharistiques, des enseignements, des moments de prière animée, etc. 

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  • La Société de Marie (sm)

La Société de Marie a pour but l’enseignement de la foi et s’est consacrée depuis sa fondation, à l’éducation des jeunes, en particulier dans le monde scolaire. La formation chrétienne des adultes (spécialement des jeunes adultes) est aussi l’une de ses activités fondamentales, notamment dans les groupes de foi dont les Communautés laïques marianistes (CLM) occupent une place de choix.

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Nous sommes les missionnaires de Marie qui nous  dit :  "Faites tout ce qu’Il vous dira".

"Oui, nous sommes tous missionnaires", dit le Bienheureux Père Chaminade.

 

A chacun de nous, la Très Sainte Vierge a confié un mandat pour travailler au salut de nos sœurs et frères dans le monde.  Les religieux Marianistes font le vœu de  stabilité, qui les met en alliance avec la Vierge Marie afin de l'aider à   "mettre son Fils au monde".

  • Ses fondateurs et bienheureux

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Père Guillaume-Joseph Chaminade

Fils d’un marchand de tissus, cadet de 15 enfants, Chaminade est né en 1761 à Périgueux, et fut ordonné prêtre en 1785. Une douzaine d’années plus tard, au plus fort de la Révolution française, il refusa de prêter le serment de fidélité à la constitution civile, imposé alors au clergé. En cachette, à l’ombre de la guillotine, il continuait son ministère pendant ce règne de la Terreur et finit par s’exiler en Espagne pour une durée de trois ans.

Alors qu’il priait au sanctuaire marial de Notre-Dame du Pilier à Saragosse en Espagne, Chaminade eut comme la « vision » d’une congrégation religieuse nouvelle, qui puiserait son inspiration auprès de Marie, la mère de Jésus.

Le Père Chaminade se mit à former des communautés chrétiennes d’hommes et de femmes, orientées vers le service d’autrui (des congrégations) comme moyen de rechristianiser la France. Certains membres des congrégations ont fini par former le noyau de deux instituts religieux qui allaient naître.

Le Père Chaminade a fondé des congrégations religieuses, des communautés de prêtres, de frères, de soeurs et de laïcs, hommes et femmes, dont l’objectif serait de reconstruire l’Eglise catholique en France et d’éduquer la jeunesse.

Chaminade décéda le 22 janvier 1850.

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Bienheureuse Adèle

de Batz de Trenquelléon

Adèle de Batz de Trenquelléon n’a que cinq semaines quand la Bastille est prise. Ses parents sont nobles. Son père, baron. Ils émigrent au Portugal.

La révolution finie, ils reviennent en France, via l’Espagne.

À dix-neuf ans, c’est une « maîtresse femme ». Elle est à la tête d’une communauté d’environ soixante jeunes filles.

En 1808, elle écrit au Père Guillaume-Joseph Chaminade pour demander l’affiliation de sa communauté à la Congrégation. Celui-ci accepte.

En 1816, le Père Chaminade vint à Agen pour y ouvrir le premier couvent des Filles de Marie Immaculée. Un an plus tard, six religieuses prononceront leurs vœux perpétuels. L’Institut des Filles de Marie Immaculée était né.

Adèle de Trenquelléon est la supérieure du couvent. Les religieuses accueillent chez elles les réunions des Dames de la Retraite et la Congrégation des jeunes filles. Elles ont aménagé un ouvroir où sont donnés des cours de couture. Bientôt, elles ouvrent des classes gratuites pour les enfants pauvres de la ville.

En dépit des difficultés des premières années, le nombre des Filles de Marie Immaculée croît. Dès 1820, elles peuvent installer un nouveau couvent.

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Bienheureux Jakob Gapp, est né le 26 juillet 1897 en Autriche,   le dernier d'une famille ouvrière de sept enfants.

En 1915, il s'engage dans l'infanterie et sera blessé sur le front italien et décoré. Fait prisonnier, il ne sera libéré qu'en 1919.

Le 13 août 1920 il intègre le noviciat des marianistes  et le 27 août 1925 prononce ses vœux définitifs en  France, à Antony, dans la chapelle de la Maison Saint-Jean. Il fut ensuite envoyé au séminaire marianiste international de  Fribourg (Suisse)  où il sera ordonné prêtre, le 5 avril 1930.

Il retourne ensuite en Autriche, à Graz, pour y exercer son ministère. Il se dévoue à ses élèves, aux familles  pauvres  et aux  chômeurs.
Fuyant le régime nazi qu’il combattait au péril de sa vie, le Père Jakob  s’arrête à Bordeaux et se réfugie à la Chapelle de la Madeleine, de janvier à mai 1939.  De Bordeaux, il s’enfuit ensuite en Espagne. Arrêté par la Gestapo près de la frontière franco-espagnole, à l’automne 1942, Père Jakob Gapp est conduit à Berlin, emprisonné, jugé, condamné à mort et décapité le 13 août 1943. 

Mort In odium fidei Jacob Gapp est proclamé martyr de la foi  et il est béatifié le 24 novembre 1996 à Rome  par le pape Jean-Paul II.

Père Jakob Gapp

  • Pour plus  d'informations sur la Société de Marie  :  

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